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Rapport annuel 2018

Nous vous envitons à une petite rétrospective!

Plus tôt, plus bref, plus beau: voilà les qualificatifs principaux de notre nouveau rapport annuel. Plus tôt parce que la partie principale est déjà publiée fin février et non plus au printemps, comme jusqu’alors. Plus bref afin que vous puissiez approfondir à votre guise les thèmes via les liens. Et plus beau parce que nous présentons désormais les contenus sur ce site moderne. Bonne lecture!

Rétrospective

  • Un paquet bien ficelé

    Le Conseil fédéral est sérieux: il a ficelé un premier paquet de mesures contre l’augmentation des coûts de la santé. Conclusion: l’ASMAC dit oui à la plupart des idées qui s’y trouvent. En revanche, elle rejette clairement trois des propositions, parmi lesquelles l’introduction de budgets globaux sur le dos des patientes et patients.

    Photo: Juri/Adobe Stock
  • Journées de travail de 15 heures? Sans nous!

    Le Parlement envisage de limer des piliers de la protection des travailleurs. L’ASMAC prend aussi le parti de la défense. Car une dérèglementation de la durée maximale de travail et de la saisie du temps de travail ouvre la porte à l’(auto-)exploitation. Mais novembre n’a pas seulement des moments tristes: avec 404 personnes, le nombre de visiteurs du congrès de carrière MEDIfuture connaît son apogée.

    Photo: Elnur/Adobe Stock
  • Chambre médicale: à la recherche d’une nouvelle solution

    La Chambre médicale est le parlement de la profession. Avec 40 membres sur 200, l’ASMAC en constitue le plus grand groupe. Lors des assemblées, l’association lance régulièrement des propositions qui trouvent une large approbation. Par exemple, en octobre, la proposition que la FMH adopte une nouvelle réglementation pour le soutien financier d’initiatives politiques.

    Photo: FMH
  • Trop de temps au mauvais endroit

    Aujourd’hui, quand les médecins courent à travers l’hôpital, c’est de moins en moins pour se rendre au chevet des malades. Ce sont les tracasseries bureaucratiques qui les tiennent en haleine. Les membres de l’ASMAC sont particulièrement concernés. La campagne «Plus de médecine et moins de bureaucratie!» met en évidence des solutions pour alléger la charge administrative des jeunes médecins. Elle fait parler d’elle au Palais fédéral.

    Photo: ASMAC
  • Un projet pour plus de postes à temps partiel

    Postes à temps partiel: très convoités, ils sont une denrée trop rare. Du moins pour les médecins et les hôpitaux suisses. Or, il y a moyen d’y remédier. Avec son nouveau projet «Promotion du travail à temps partiel» l’ASMAC encourage la compatibilité entre vie professionnelle et vie privée/familiale. Le but est une organisation du travail permettant davantage de postes à temps partiel.

    Photo: KOMET Werbeagentur AG
  • Le pilotage des admissions à la croisée des chemins

    Les conditions d’ouverture d’un cabinet pour les médecins en Suisse devraient être soumises à une nouvelle réglementation dès 2021. Mais le pilotage des admissions est une pomme de discorde. Les idées telles que les plafonnements, le gel des admissions et la suppression du libre choix du médecin échauffent les esprits. Or, il existe une solution simple et pragmatique. L’ASMAC l’a présentée en été.

    Photo: lassedesignen/Adobe Stock
  • La Rose d’hôpital fleurit dans le Jura

    Une fois par année, l’ASMAC décerne la Rose d’hôpital. Elle entend ainsi récompenser les améliorations des conditions de travail ou de la formation médicale postgraduée. En 2018, le prix est attribué à l’Hôpital du Jura. En juin aussi, Patrizia Kündig devient la deuxième vice-présidente de l’association, dont le secrétariat central emménage dans de nouveaux bureaux au Bollwerk 10 à Berne, tout près des anciens locaux à la gare.

    Photo: Olivier Guerdat, Hôpital du Jura
  • Le conseil de carrière est sur les rails

    Des médecins plus âgés aident les jeunes médecins dans leur formation postgraduée: voilà l’idée derrière «Coach my Career». Un des partenaires du projet est l’ASMAC. Depuis le printemps 2018, les personnes intéressées peuvent s’annoncer pour un conseil. Les coachings ont débuté en août. Après la phase test en Suisse alémanique, le projet devrait franchir la barrière des röstis en 2019.

    Photo: adrian_ilie825/Adobe Stock
  • Parliamo anche l’italiano!

    Le Comité central approuve sans aucune opposition une motion de la section Tessin. Celle-ci souhaite que l’ASMAC communique davantage en italien et traduise ses publications dans la troisième langue nationale. Par ailleurs, le «Journal ASMAC» aura un nouveau design en 2019. Les délégués disent oui aux modifications y relatives dans les rapports de sections.

    Photo: Joelle M/Adobe Stock
  • Les visites atteignent un nombre record

    La qualité de la formation continue est-elle satisfaisante? Des équipes d’experts cherchent à y répondre lors de visites dans les cliniques. Ces visites ont lieu chaque année sur une centaine de sites. L’ASMAC est toujours de la partie, comme le 13 mars à l’Hôpital la Vallée au Sentier (VD). A cette occasion, même la présidente Anja Zyska fait partie de la délégation. Avec 128 visites, l’année 2018 constitue un nouveau record.

    Photo: metamorworks/Adobe Stock
  • La protection de la maternité, parent pauvre

    En ce qui concerne la protection de la maternité, l’ASMAC ne se contente pas de rester attentive, elle s’exprime aussi. Notamment lors de l’émission télévisée «Schweiz aktuell» (en allemand) du 23 février sur SRF 1. Car surtout les jeunes femmes médecins sont très concernées par ce thème. C’est pourquoi l’association a soutenu la proposition du Conseil fédéral en faveur de la prolongation de l’allocation de maternité.

    Photo: Stasique/Adobe Stock
  • Nombre minimum de cas: une question épineuse …

    Le nombre minimum de cas pour les hôpitaux divise les esprits. Ses défenseurs soulignent l’aspect de la qualité et de la sécurité, ses détracteurs craignent une médecine centralisée et une augmentation de la bureaucratie. Dans sa séance de janvier, le Comité directeur de l’ASMAC plaide pour une vision différenciée. Il garde surtout à l’esprit les conséquences pour la formation postgraduée de ses membres.

    Photo: Kzenon/Adobe Stock

Chiffres et faits