Le Parlement débat de la réforme du droit pénal sexuel. Si le Conseil national suit le Conseil des États en se déclarant favorable au principe «Non, c’est non», ce serait une grande déception pour les victimes, car la loi leur attribuerait la responsabilité de dire «non» à un rapport sexuel non désiré pour que celui-ci puisse être reconnu comme viol. Nous préconisons donc la solution «Seul un oui est un oui» et soutenons la pétition d’Amnesty International lancée dans ce but. Les signatures peuvent être déposées en ligne jusqu’à la fin novembre. (Image: Amnesty International)
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